HISTORIQUE
Il y a près de 25 ans alors que je présidais à Paris aux destinées de revues spécialisée n'ayant rien avoir avec l'aéronautique, je n'aurai jamais imaginé que l'achat de ma 1ère grande hélice en bois, une Morane Saunier 500, me pousserait à changer de vie 15 ans plus tard.
En effet après la découverte de cette 1ère hélice, je me suis mis à la recherche d'autres modèles dont la taille, les formes et les essences de bois m'amèneraient à détenir en quelques années plus d'une vingtaine de pièces aussi rares que différentes.
Il y a près de 25 ans alors que je présidais à Paris aux destinées de revues spécialisée n'ayant rien avoir avec l'aéronautique, je n'aurai jamais imaginé que l'achat de ma 1ère grande hélice en bois, une Morane Saunier 500, me pousserait à changer de vie 15 ans plus tard.
En effet après la découverte de cette 1ère hélice, je me suis mis à la recherche d'autres modèles dont la taille, les formes et les essences de bois m'amèneraient à détenir en quelques années plus d'une vingtaine de pièces aussi rares que différentes.
NAISSANCE D'UNE PASSION
Mais le vrai déclencheur de cette passion, à y réfléchir de plus près, fut sans aucun doute ma rencontre déterminante, en 1978, avec un officier de gendarmerie qui allait devenir mon ami, le Capitaine Christian Prouteau, fondateur et patron du célèbre GIGN (Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale).
Sous couvert de réaliser un petit reportage pour un club de tir sportif de province, je devins très vite le photographe "officiel" de cette unité d'élite.
Pendant plus de15 ans, parallèlement à mes fonctions dans la presse, j'ai suivi de façon quasi-non stop l'entraînement et les missions de ces hommes d'élite. J'ai vu se succéder de nombreux patrons, partager les joies et les peines de ces gendarmes d'exception, vu se créer le GSPR, chargé de la sécurité du Président de la République, et réalisé des milliers de photos qui m'ont poussées à éditer deux ouvrages de reportages photographiques, le 1er en 1985 - GIGN 10 ans d'action - le second en 1990 - GIGN-GSPR-EPIGN-Gendarmes de l'extrême.
Devenu l'un d'entre eux, comme s'amusait à le dire Prouteau, afin de couvrir leurs missions et leurs entraînements, je passais des centaines d'heures à bord de Transal, Hercule C130 et autres gros porteurs ainsi que dans toutes sortes d'hélicoptères affectés à la gendarmerie ou à l'armée de terre. Je découvris bien évidemment de superbes hélices en aluminium, mais aussi bon nombre d'avions militaires, de transports de troupes ou de chasse.
C'est à ce moment-là, je pense, que ma véritable passion pour l'aéronautique en général mais surtout les hélices en aluminium et autres pièces de fuselage pouvant être détournées prit le dessus sur les vieux avions à hélice en bois.
Je me mis en quête d'acheter, bien évidemment en fonction de mes moyens, tout ce qui pouvait être à vendre : verrières, sièges éjectables, hélices et pales en tout genre.
Mais le vrai déclencheur de cette passion, à y réfléchir de plus près, fut sans aucun doute ma rencontre déterminante, en 1978, avec un officier de gendarmerie qui allait devenir mon ami, le Capitaine Christian Prouteau, fondateur et patron du célèbre GIGN (Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale).
Sous couvert de réaliser un petit reportage pour un club de tir sportif de province, je devins très vite le photographe "officiel" de cette unité d'élite.
Pendant plus de15 ans, parallèlement à mes fonctions dans la presse, j'ai suivi de façon quasi-non stop l'entraînement et les missions de ces hommes d'élite. J'ai vu se succéder de nombreux patrons, partager les joies et les peines de ces gendarmes d'exception, vu se créer le GSPR, chargé de la sécurité du Président de la République, et réalisé des milliers de photos qui m'ont poussées à éditer deux ouvrages de reportages photographiques, le 1er en 1985 - GIGN 10 ans d'action - le second en 1990 - GIGN-GSPR-EPIGN-Gendarmes de l'extrême.
Devenu l'un d'entre eux, comme s'amusait à le dire Prouteau, afin de couvrir leurs missions et leurs entraînements, je passais des centaines d'heures à bord de Transal, Hercule C130 et autres gros porteurs ainsi que dans toutes sortes d'hélicoptères affectés à la gendarmerie ou à l'armée de terre. Je découvris bien évidemment de superbes hélices en aluminium, mais aussi bon nombre d'avions militaires, de transports de troupes ou de chasse.
C'est à ce moment-là, je pense, que ma véritable passion pour l'aéronautique en général mais surtout les hélices en aluminium et autres pièces de fuselage pouvant être détournées prit le dessus sur les vieux avions à hélice en bois.
Je me mis en quête d'acheter, bien évidemment en fonction de mes moyens, tout ce qui pouvait être à vendre : verrières, sièges éjectables, hélices et pales en tout genre.
INSTALLATION DANS LE SUD
La destinée "toujours elle" aidant, au hasard des rencontres, je décidais après quelques essais concluant sur des brocantes parisiennes, de changer de vie et de me consacrer pleinement à cette nouvelle passion.
Les pièces d'avion que je commençais à transformer ne pouvant suffire aux différentes demandes que je rencontrais dans cette galerie de l'Isle-sur-la-Sorgue, je décidais en complémentarité de ces objets qui me passionnaient de proposer à ma clientèle des pièces se rapportant à cet univers en terme de décoration : pompes à essence restaurées, réfrigérateurs customisés, luminaires de bloc opératoire ou de cinéma détournés etc... etc...
L'un de nos premiers clients nous acheta une pale d'hélice de Douglas DC6 en aluminium poli miroir monté sur socle. Il la voyait telle une sculpture et la positionna bien évidemment dans son jardin. Après une nuit de mistral, il trouva sa pale à moitié immergée dans sa piscine. Cette mésaventure me poussa à créer un système permettant aux pales de moyenne et de grande taille de tourner sur leur axe.
Bien des surprises m'attendaient dans cette région. En effet, de nombreuses bases aériennes y étaient implantées. Les ferrailleurs et autres recycleurs de métaux détenaient de véritables trésors et il suffisait à l'époque de se "baisser" pour trouver réacteurs, verrières, ailes et autres pièces d'importance.
Au détour d'une de mes "chasses", j'appris qu'il y avait dans la région quelqu'un d'encore plus fou que moi. Je me contentais d'accumuler des pièces d'avion, lui il collectionnait les avions afin d'éviter qu'ils finissent chez les ferrailleurs. Notre démarche était diamétralement opposée mais à bien y réfléchir elle se rejoignait.
En rencontrant Claude Tourniaire, Fondateur des Amis de la 5ème Escadre et du Musée Aéronautique d'Orange, je trouvais un nouvel ami grâce à qui nombreuses portes s'ouvrirent à nouveau.
La destinée "toujours elle" aidant, au hasard des rencontres, je décidais après quelques essais concluant sur des brocantes parisiennes, de changer de vie et de me consacrer pleinement à cette nouvelle passion.
Les pièces d'avion que je commençais à transformer ne pouvant suffire aux différentes demandes que je rencontrais dans cette galerie de l'Isle-sur-la-Sorgue, je décidais en complémentarité de ces objets qui me passionnaient de proposer à ma clientèle des pièces se rapportant à cet univers en terme de décoration : pompes à essence restaurées, réfrigérateurs customisés, luminaires de bloc opératoire ou de cinéma détournés etc... etc...
L'un de nos premiers clients nous acheta une pale d'hélice de Douglas DC6 en aluminium poli miroir monté sur socle. Il la voyait telle une sculpture et la positionna bien évidemment dans son jardin. Après une nuit de mistral, il trouva sa pale à moitié immergée dans sa piscine. Cette mésaventure me poussa à créer un système permettant aux pales de moyenne et de grande taille de tourner sur leur axe.
Bien des surprises m'attendaient dans cette région. En effet, de nombreuses bases aériennes y étaient implantées. Les ferrailleurs et autres recycleurs de métaux détenaient de véritables trésors et il suffisait à l'époque de se "baisser" pour trouver réacteurs, verrières, ailes et autres pièces d'importance.
Au détour d'une de mes "chasses", j'appris qu'il y avait dans la région quelqu'un d'encore plus fou que moi. Je me contentais d'accumuler des pièces d'avion, lui il collectionnait les avions afin d'éviter qu'ils finissent chez les ferrailleurs. Notre démarche était diamétralement opposée mais à bien y réfléchir elle se rejoignait.
En rencontrant Claude Tourniaire, Fondateur des Amis de la 5ème Escadre et du Musée Aéronautique d'Orange, je trouvais un nouvel ami grâce à qui nombreuses portes s'ouvrirent à nouveau.
DESIGN AERONAUTIQUE
Non content de transformer des pales en sculptures mouvantes, des saumons d'ailes en appliques lumineuses, des dérives et autres volets en tables, je m'attelais, après l'acquisition de 2 trains d'atterrissage de Breguet Alizé, à la réalisation de ma 1ère oeuvre majeure. Il s'agissait d'un bureau réalisé à partir de ces 2 trains d'atterrissage réduits dans leur hauteur et reliés entre eux par des axes nickelés qui, pour le côté esthétique, avaient conservé leurs freins, leurs roues ainsi qu'une partie de leurs jambes, espacés d'un peu plus d'1 m, ils supportaient une dalle en verre en forme de haricot. la description est un peu succinct mais ma 1ère véritable création venait de voir le jour en septembre 2003.
Non content de transformer des pales en sculptures mouvantes, des saumons d'ailes en appliques lumineuses, des dérives et autres volets en tables, je m'attelais, après l'acquisition de 2 trains d'atterrissage de Breguet Alizé, à la réalisation de ma 1ère oeuvre majeure. Il s'agissait d'un bureau réalisé à partir de ces 2 trains d'atterrissage réduits dans leur hauteur et reliés entre eux par des axes nickelés qui, pour le côté esthétique, avaient conservé leurs freins, leurs roues ainsi qu'une partie de leurs jambes, espacés d'un peu plus d'1 m, ils supportaient une dalle en verre en forme de haricot. la description est un peu succinct mais ma 1ère véritable création venait de voir le jour en septembre 2003.